Le sophrologue est un professionnel non reconnue pour l’instant dans le cadre du code de la santé publique
- Différentes instances publiques reconnaissent de plus en plus cette approche et cette profession ( URSAFF, RSI, code ROME ANPE …) qu’elle soit complémentaire ou non à une autre profession (médecin, infirmière, formateur …)
- Des mutuelles proposent à leurs adhérents, un montant de participation annuelle à des séances de sophrologie.
- Tout ceci, constitue des avancées significatives pour les sophrologues français.
L’exigence d’un parcours professionnalisant
Les Etats Généraux annuels de la Formation en Sophrologie sont un lieu d’échange et de travail permettant aux Directeurs d’écoles, quels que soient les courants de :
- construire des bases communes concernant le métier de Sophrologue : les relaxations dynamiques, les techniques associées, les lois et principes de la sophrologie, entre autres …,
- clarifier les différences de courants, issues de l’expérience et des compréhensions des différents directeurs d’écoles : création des programmes d’accompagnement en fonction des besoins actuels des clients et du public rencontré, adaptation des techniques, et exploitation de l’après-séance technique dans le cabinet du sophrologue.
Les capacités et les compétences professionnelles des futurs sophrologues sont validées par un système d’évaluation, quelles que soient les écoles, incluant des démonstrations pratiques, des vérifications théoriques et des stages d’application pratique.
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